Comment croître dans ta nouvelle vie chrétienne

  • L'assurance du salut

    Quand tu as confessé tes péchés à Christ et que tu L’as invité à venir habiter en toi, Il a immédiatement pardonné tous tes péchés.Il dit dans Sa parole : « Je ne me souviendrai plus de leurs péchés, ni de leurs fautes » (Hébreux 10:17). Par ailleurs, Il dit : « Si nous disons que nous sommes sans péché, nous nous trompons nous mêmes et la vérité n’est pas en nous. Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 1:8-9). Ainsi, tous les péchés que tu as jamais commis sont à jamais effacés du registre de Dieu. Tu es devant Dieu comme si tu n’avais jamais péché. En plus du pardon de tes péchés, tu es devenu un enfant de Dieu. Remarque que chaque être humain est une créature de Dieu, mais seuls ceux qui reçoivent JÉSUS-CHRIST deviennent des enfants de Dieu. La Bible dit : « Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son Nom, Elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu » (Jean 1:12). Tu es maintenant un vrai membre de la famille de Dieu. Dieu ne va pas t’exclure de Sa Read More
  • La présence du Saint-Esprit en toi

    Le Saint-Esprit est l’Esprit de Dieu. Il est aussi l’Esprit de Christ. Lorsque nous confessons nos péchés et que nous invitons Jésus-Christ à venir habiter en nous, Il vient demeurer dans nos cœurs en la personne du Saint-Esprit. Nous pouvons donc dire que le Saint-Esprit, c’est Christ dans une forme que nous pouvons recevoir en nous.Ainsi donc, le Saint-Esprit vit en tous ceux qui ont abandonné leurs péchés et ont reçu Christ. Ainsi, cher ami, chère amie, si tu as vraiment reçu Christ, alors le Saint-Esprit demeure en toi.La Bible, s’adressant à ceux qui ont reçu Christ, dit : « Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu et que l’Esprit de Dieu habite en vous? » (1 Corinthiens 3:16). La Bible dit encore : « L’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné » (Romains 5:5).Le Saint-Esprit habite en toi pour te donner le pouvoir de vaincre le péché et d’aimer Christ de tout ton cœur. Pourquoi ne pas t’arrêter en ce moment pour remercier Dieu de t’avoir donné Son Saint-Esprit ? Continue à prier que le Saint-Esprit remplisse ton cœur et ta vie. Si tu abandonnes toute ta vie et toute chose sans réserve à Read More
  • Le témoignage

    Tu as reçu l’amour et le pardon de Dieu. Tu dois aider les autres à les recevoir aussi. Pour cela, il faut parler de Jésus-Christ à d’autres personnes, dire ce qu’Il a fait pour toi, et ce qu’Il fera pour eux. Prie tous les jours que Dieu te conduise vers quelqu’un à qui tu annonceras l’Evangile. Ecris les noms et les adresses de tous ceux à qui tu as témoigné, y compris les membres de ta famille et les amis, et prie tous les jours que chacun d’eux se repente et reçoive Jésus. Read More
  • L'étude et l'obéissance à la parole

    La Bible est la parole de Dieu. Procure-toi un Nouveau Testament et mets-toi tout de suite à le lire. Lis-le aussi vite que possible et termine la lecture du Nouveau Testament rapidement. Il serait bon de commencer par l’Evangile de Saint-Jean. Si tu négliges l’étude biblique, tu ne grandiras pas dans ta nouvelle vie en Christ, et ceci est dangereux. En lisant la Bible, obéis à tous les commandements de Dieu qui s’y trouvent. Obéis à la parole de Dieu même si d’autres personnes autour de toi y désobéissent. Jésus a dit : « Si vous m’aimez, gardez mes commandements » (Jean14:15). Read More
  • La prière

    Prier c’est parler à Dieu. Tu es devenu un enfant de Dieu, tu as donc le droit de Lui parler, car Il est ton Père. Il aime t’entendre Lui parler. Parle-Lui souvent et toujours. Dis-Lui que tu L’aimes. Remercie-Le pour toutes les bonnes choses qu’Il a faites pour toi et pour les autres. Suis le schéma suivant dans les prières : Confesse tous les péchés que tu as commis, en pensée, en parole ou en acte. Loue-Le pour Sa grandeur. Loue-Le pour toute Sa bonté pour toi et pour les autres. Demande-Lui de pourvoir à tes besoins. Sois spécifique. Demande-Lui de pourvoir aux besoins des autres. Prie pour les membres de ta famille, tes amis et tous les autres pour qu’ils se repentent et qu’ils soient sauvés. Il serait bon d’écrire tes sujets de prière pour pouvoir remercier Dieu d’une façon spécifique lorsqu’Il aura répondu. Dieu a promis de répondre aux prières. Il dit : « Jusqu’à présent vous n’avez rien demandé en mon nom. Demandez et vous recevrez afin que votre joie soit parfaite » (Jean 16:24).   La Prière seule https://youtu.be/CQucD1arY04   Avoir un cahier de prière: comment le traçer?   La prière est la clé passe partout Veillez donc Read More
  • La communion fraternelle

    La vie nouvelle en Christ est mieux vécue en communion avec d’autres personnes qui ont aussi reçu cette vie. Maintenant que tu as reçu cette vie, tu dois rechercher de telles personnes pour suivre l’enseignement biblique, la communion fraternelle, la fraction du pain, et la prière avec eux (Actes 2:42). Ne continue pas à « adorer » Dieu avec des personnes qui n’ont pas reçu JESUS-CHRIST comme leur Seigneur et Sauveur personnel (2 Corinthiens 6:14-18). Read More
  • Le baptême

    Le Seigneur Jésus a dit : « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné » (Marc16:16). L’apôtre Pierre dit « Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit » (Actes 2:38) et « Cette EAU était une figure du baptême, qui n’est pas la purification des souillures du corps; mais l’engagement d’une bonne conscience envers Dieu, et qui maintenant vous sauve, vous aussi, par la résurrection de Jésus-Christ » (1 Pierre 3:21). L’apôtre Paul a dit : « Ayant été ensevelis avec Lui par le baptême, vous êtes aussi ressuscités en Lui et avec Lui par la foi en la puissance de Dieu qui l’a ressuscité des morts » (Colossiens 2:12). Lis aussi (Actes 19:1-6). Tu as cru. Maintenant obéis à Jésus en te faisant baptiser (ayant été ensevelis avec Lui) aussitôt que possible. Ne retarde pas cet acte d’obéissance; car c’est un commandement de Jésus et tu n’as d’autre choix que d’obéir immédiatement. Je prie pour toi. S’il te plaît écris-moi vite ou appelle-moi pour me faire connaître comment tu grandis dans ta nouvelle vie avec Christ. Si tu as des problèmes Read More
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L’impact des noms que l’on donne aux enfants: Bénédiction ou Malédiction

Publié dans Ministère aux familles

Les noms que l’on donne aux gens ont un impact sérieux sur les personnes qui les portent. Une fois de plus cela s’illustre par la nomination, la désignation des enfants de Jacob, chacun d’un nom particulier. (Cf. Genèse29 : 31-35)
« L'Éternel vit que Léa n'était pas aimée ; et il la rendit féconde, tandis que Rachel était stérile. »
Léa devint enceinte, et enfanta un fils, à qui elle donna le nom de Ruben ; car elle dit : « L'Éternel a vu mon humiliation, et maintenant mon mari m'aimera. » Genèse29 : 31-32

Le nom que l’enfant porte devrait être pour la gloire de Dieu !

« L'Éternel vit que Léa n'était pas aimée ; et Il la rendit féconde »
C’est l’Eternel qui prend toujours l’initiative de bénir et c’est à Lui que devrait revenir la gloire pour toute bénédiction et non à l’homme, en aucun cas, en aucune circonstance. Pour l’attribution du nom de l’enfant, tout devrait être également fait pour que toute gloire soit à l’Eternel, au Père tout puissant.

Dans le cas présent, c’est l’Eternel qui « vit que Léa n’était pas aimée ». Tout était parti de Lui, c’est Lui qui prit souverainement et sans contrainte aucune, ni l’exercice de quelque pression que ce soit, l’initiative de donner un enfant à Léa. IL vit que Léa n’était pas aimée. Et c’est Lui seul qui décida autant souverainement de la rendre féconde ; mais ayant enfanté son 1er fils, Léa ne daigna pas le moindre instant songer à rendre grâce à l’Eternel qui venait de bénir son sein. Au contraire, elle ne pensa exclusivement qu’à sa propre gloire, en s’exclamant ainsi « L’Eternel a vu mon humiliation, et maintenant, mon mari m’aimera ».

En disant pourtant que l’Eternel a vu son humiliation, elle reconnaissait fort bien son incapacité à se faire elle-même des enfants. Mais au lieu de rendre donc grâce au Seigneur pour cela, elle s’est plutôt totalement tournée vers elle-même pour ne regarder qu’à sa propre glorification en s’écriant « maintenant mon mari m’aimera ». Ainsi, sa préoccupation ne portait que sur elle-même. C’était d’être aimée par son mari, ce n’était même pas qu’elle aime son mari, encore moins qu’elle aime l’Eternel, mais plutôt, c’était que son mari l’aime.

Il en est de même aujourd’hui, et à plusieurs égards. Lorsque le Seigneur permet à quelqu’un d’accomplir quelque chose, au lieu que cela le pousse à glorifier Dieu, il cultive plutôt le désir secret d’être exalté par les autres. Après un long jeûne, une bonne prédication, une moisson abondante d’âmes, au lieu que la réaction première soit celle d’être reconnaissant envers le Seigneur d’avoir doté le pécheur, le terrestre que l’on est de telles capacités, l’on se met plutôt à nourrir le désir à l’intérieur d’être célébré par les hommes autour de soi. Et c’est ainsi qu’après certaines bénédictions de Dieu, bien des gens se détournent de Dieu, soit pour ne désormais accorder leur attention qu’à la dite bénédiction, soit pour ne se préoccuper plus que de soi même. Ainsi, plusieurs rétrogradent après avoir eu un époux ou une épouse, abandonnent le Seigneur après avoir trouvé un emploi, ou demeurent des personnes au cœur partagé suite à une nomination ou à une amélioration des conditions de vie.
Léa pour sa part, n’avait trouvé comme bonne réaction à la naissance de son premier fils que le fait de lui donner un nom qui signifie : mon mari m’aimera : Ruben. Et ce nom qui n’était pas pour lui une bénédiction ne put le préserver plus tard d’être maudit à la suite de l’acte infâme qu’il posa contre son père et contre Dieu en prenant la concubine du père : il perdit immédiatement le droit d’aînesse : un nom qui en aucun cas ne glorifiait pas Dieu ne put le mettre à l’abri d’une telle malédiction.

Cette recherche de la gloire personnelle dans l’attribution des noms ne s’arrêta pas seulement après la naissance de Ruben. Il en fut de même pour les deux naissances suivantes. La Bible dit en effet, «  Elle devint encore enceinte, et enfanta un fils, et elle dit : l’Eternel a entendu que je n’était pas aimée, et il m’a aussi accordé celui-ci . Et elle lui donna le nom de Siméon. Elle devint encore enceinte et enfanta un fils, et elle dit : pour cette fois, mon mari s’attachera à moi ; car je lui ai enfanté trois fils. C’est pourquoi on lui donna le nom de Lévi ».

A la naissance des 3 premiers fils, les noms ont été donnés pour la gloire personnelle. Ce n’est qu’après la naissance du 4e fils de Jacob que Léa résolut de lui donner enfin un nom qui a fait un impact éternel très positif sur l’enfant : elle a enfin donné à l’enfant un nom qui était une gloire pour Dieu. Ce n’est que l’unique fois où de ses six accouchements elle a été poussée à glorifier le Seigneur.

En effet, elle s’était enfin écriée, d’après ce que la Bible déclare après la naissance du quatrième fils «  cette fois, je louerai l’Eternel, c’est pourquoi elle lui donna le nom de Juda » ( Juda sans ‘s’ ).
Cette fois ! Cette fois ! Cette fois ! Je louerai l’Eternel ! Je louerai l’Eternel !Je louerai l’Eternel : c’est pourquoi elle donna le nom de Juda. Juda : je louerai l’Eternel.
Le nom de Juda a été donné entièrement à la gloire de Dieu. C’est pour glorifier Dieu de bout en bout, du début à la fin, que ce nom a été donné à l’enfant. Dans l’attribution du nom de Juda , la motivation intérieure était de glorifier Dieu. Ainsi, le don de ce nom n’a été en aucun moment et d’aucune manière entachée de motifs charnels, ni d’aucune simulation, ni stimulation pour la gloire ou l’exaltation d’un homme ; mais ( au contraire), cela ne l’a été que pour la gloire de Dieu, de bout en bout, et la gloire de Dieu seul.

Ainsi il n’y avait dans l’attribution de ce nom que de la pureté de bout en bout. La motivation intérieure pour le donner était simple et pure, et le tout pour la gloire exclusive de Dieu. Ce nom de Juda à donc été donné pour exalter Dieu.

La bénédiction, la 1ère des bénédictions des parents pour leurs enfants au moment de l’accouchement, c’est le nom qu’ils leur donnent. Les motivations doivent être pures ; ce doit avoir été une incitation du Seigneur. Ce doit avoir entièrement été l’inspiration du Saint-Esprit.

Est-ce le Saint-Esprit qui t’a révélé le nom que tu as donné à l’enfant que tu as accouché ? Quelle était au fond de toi la motivation réelle pour le don de ce nom ? Etait-ce exclusivement pour la gloire de Dieu ? Ou alors, également pour la gloire de l’homme ?
Si le don du nom l’a été exclusivement et entièrement pour glorifier Dieu, alors tu as béni l’enfant d’une bénédiction éternelle. Par contre, si cela ne l’a pas été pour la gloire entière et exclusive de Dieu, si cela ne l’a pas été pour la seule raison de plaire à Dieu et rien qu’à Lui, alors cet enfant n’a pas été béni.
Tant que le nom donné à l’enfant ne provient pas d’une révélation personnelle de Dieu comme nom devant lui être donné, alors cet enfant n’a pas été béni.

Le nom inspiré par le désir de plaire entièrement à Dieu : son impact dans la protection contre les malédictions.

Juda. Juda. Juda. Ce nom signifie : je louerai l’Eternel et la louange de l’Eternel est demeurée éternellement attachée sur la personne qui à porté ce nom.
Il n’y a rien de particulier qui a dans l’ensemble distingué ce fils de Jacob de ses autres enfants. Et ses mauvais agissements devraient lui avoir valu autant de malédictions que celles que ses autres frères ont connues. Mais au lieu de cela, il en a toujours été miraculeusement épargné. Il a, en effet, souvent été très mal agissant. Il a souvent commis de grandes abominations, et de bien plus grandes que beaucoup de ses frères. Mais la bénédiction du nom reposant sur lui de façon inchangeable, le nom l’a toujours poursuivi pour le bénir continuellement et dévier la malédiction qui aurait pu atterrir lourdement sur lui.

Ses défaillances

Juda avait commis beaucoup de fautes d’entre lesquelles les suivantes :

⦁ Premièrement, Juda a été, sais de jalousie à l’égard de Joseph, celui qui le 1er a suggéré qu’il soit vendu aux israélites. (Genèse37 : 23-28). En cela, il était celui qui s’opposait le plus à l’accomplissement de la volonté de Dieu selon les promesses des songes de Joseph, devant qui parents et frères allaient se prosterner. Non content de ce que Dieu avait ainsi établi les choses, c’est Juda qui le 1er a pris l’initiative d’écarter d’eux «  le faiseur de songes » comme pour mettre Dieu au défi de son accomplissement. Et il y a échappé. Par contre Lévi et Simon qui étaient très violents à l’égard des Sichémites ont été «  désavoués », et pour une seule faute commise Ruben a perdu le droit d’aînesse.

⦁ Deuxièmement, tandis que tous les enfants de Jacob étaient supposés demeurer ensemble et près les uns des autres, Juda fut d’entre ses frères le premier à s’éloigner des autres. Genèse38 :1 «  En ce temps là, Juda s’éloigna de ses frères et se retira vers un homme d’Adullam nommé Hira ». Ainsi, Juda avait entrepris de quitter la compagnie du peuple de Dieu pour s’attacher aux païens, aux incirconcis. Mais il n’en a pas subi la lourdeur de sa faute visiblement peut-être parce que la bénédiction du nom sur lui l’en a épargné carrément.

⦁ Troisièmement Abraham avait fait jurer son serviteur qu’il ne prendrait pas de femme étrangère pour Isaac. Et Isaac, le grand-père de Juda, a dû aller, pour plaire à ses parents, être marié avec une parenté dans la famille, la descendance du frère d’Abraham ; et de même, Isaac a donné à Jacob la recommandation ferme de ne pas prendre de femmes étrangères. Juda, lui, faillit à cette loi. Et dans une certaine mesure, il aurait dû subir ce qu’Esaü avait subi : le rejet par ses parents. Mais tel n’a pas été le cas. Non seulement ses parents ne l’ont peut-être pas rejeté, mais également, Dieu certainement ne l’a pas rejeté. Pourquoi donc ? La bénédictin du nom reposait déjà sur lui : «  Je louerai l’Eternel » rendait toute malédiction nulle et non avenue pour «  (ce qui concernait) Juda. La malédiction ne parvenait pas à avoir de place dans sa vie. Dans un sens, la bénédiction que procure le nom avait déjà tout envahi et pris toute la place et empêchait la malédiction d’y trouver la sienne.

⦁ Quatrièmement, il n’a pas bien élevé ses enfants. Et certainement, les noms qu’il leur a donnés sans que cela l’ait été sous l’inspiration du Saint-Esprit ont été incapables de les préserver de la malédiction ? Er, son premier fils, était méchant aux yeux de l’Eternel : il est mort, Onan également. Pourquoi ? Les enfants n’avaient pas, comme leur père, reçu des noms qui devaient leur garantir la bénédiction et les préserver de toute malédiction. La faute dans un sens était celle du père : mais ce sont les enfants qui ont péri.

⦁ Cinquièmement, Juda a menti à Thamar au sujet de Schéla, et n’a pas apparemment été inquiété pour cela.

⦁ Sixièmement, Juda est allé jusqu’à introduire ou encourager la prostitution en Israël. Il aurait dû être puni pour cela. Car à cause de ce qu’il était dans le cœur un prostitué (influencé certainement par les pratiques qui avaient cours au pays d’Adullam), il est tombé dans le piège de Thamar pour commettre l’inceste en Israël, ce qui ne devait pas se faire (Lévitique 18 :15).

Nous pouvons donc à partir de tous ces cas et bien d’autres voir que Juda a commis un grand nombre de crime qui ne lui auraient pas permis de continuer d’exister. Mais la bénédiction que lui assurait son nom a dû jouer un très grand rôle pour toujours le préserver et le protéger des châtiments et sanctions auxquelles il aurait dû normalement avoir part.

Les bénédictions ayant accompagné ce nom

Nombreuses sont les bénédictions ayant accompagné le nom de Juda. Nous tentons d’énumérer quelques-unes ci-dessous, et plusieurs certainement sont en reste.

Tout d’abord, il importe de noter que les noms ont été donné aux enfants tandis que Jacob se trouvait encore chez son beau-père à Padan-Aram en Mésopotamie, et donc sérieusement éloigné du lieu de résidence finale de ce peuple. Cependant la bénédiction procurée par ce nom a suivi Juda jusque dans la Terre Promise où ils devaient s’établir.

⦁ Premièrement, le Royaume de Juda a été le centre de la vie spirituelle en Israël, et non seulement en Israël, mais bien plus, sur toute la terre.

⦁ Deuxièmement, sa capitale Jérusalem est devenu le Centre de la nation et le lieu où il fallait adorer Dieu, au cœur du Royaume de Juda, à cause de la signification du nom Juda, qui est : je louerai l’Eternel.

⦁ Troisièmement, le plus grand chantre, le plus grand homme de louange que le royaume ait jamais connu est issu de cette tribu et il ne pouvait en être autrement puisque c’est la tribu de « Je louerai l’Eternel ». La louange de l’Eternel à cause de la signification de ce nom ne pouvait mieux se faire que dans le territoire dont la signification du nom fait la prophétie de la louange de l’Eternel.

⦁ Quatrièmement, la ville de Dieu dans les cieux, le lieu de rassemblement de Dieu avec ses serviteurs, le Tabernacle Eternel porte (en toute logique) le nom de Jérusalem, sous la désignation alors de Jérusalem Céleste, ainsi par ailleurs le nom de la capitale terrestre du royaume de Juda. Pourquoi cela ? Evidement du fait de la meilleure correspondance de ce nom par rapport à ce qui sera fait au Ciel. Là-bas en effet, il y aura une louange continue : ce qui est bien l’illustration de Juda, c’est-à-dire je louerai l’Eternel. Et c’est là une bénédiction retentissante découlant du nom qui avait été donné à un enfant à des centaines de kilomètres de ce lieu de résidence final. Le nom qu’on donne à l’enfant a un impact éternel sur lui : quelle grandeur ! Quel honneur ! Quelle bénédiction ! Quand on parvient à se détacher totalement de soi et des intérêts charnels humains pour ne penser exclusivement qu’aux intérêts de Dieu ! C’est la gloire! La gloire ! La véritable gloire.


Mais ce n’est pas encore tout, comme bénédiction suprême ayant découlé d’un nom tout simplement donné à l’enfant et qui signifiait « Je louerai l’Eternel » c’est de Juda qu’est sorti le Messie, l’Oint de Dieu, le Souverain Berger, le Prince du salut et suprême gardien de nos âmes, le Seigneur Jésus-Christ. Et tout cela ne l’a été simplement qu’en raison du nom «  Juda » « Je louerai l’Eternel ». Et à la faveur de la naissance de Christ dans la postérité de Juda, la louange de l’Eternel y a été établie de façon éternelle. Quelle formidable faveur ! Quelle gloire ! L’impact du nom ! L’impact du nom ! L’impact du nom ! Le nom a un impact éternel sur la personne à qui on le donne.

Que comprendre donc de cela.

Que comprendre donc de ceci ?
Tout d’abord, il ne s’agit pas maintenant d’aller donner à tout enfant le nom de Juda ! Il ne s’agit pas non plus de choisir personnellement, de choisir de sa propre initiative des noms de la Bible en raison de leur signification pour les donner à l’enfant, ou aux enfants. Ce serait juste de la chair, de la manifestation de la vaine gloire.

Ce qu’il faut comprendre de cela, c’est que l’on doit toujours s’assurer que le nom qui est donné à l’enfant est une révélation du Seigneur , une inspiration du Saint-Esprit, il faut donc que le nom ait été inspiré par le Seigneur et donné à l’enfant pour plaire entièrement à Dieu, et rien qu’à lui. Il n’y faut point l’intention ne serait ce qu’infime, de plaire ni à la chair, donc à soi, ni à l’homme tout court, qui qu’il soit, tant que ce n’est pas cela la volonté du Seigneur. Il faut donc que le mobile n’ait pas été de plaire à soi, ni à quelqu’autre être humain que ce soit, conduit par la chair. Il faut qu’au fond de son cœur on cherche exclusivement et vraiment, à plaire au Seigneur : ceci bien évidemment non de son propre Chef, mais selon une révélation du Seigneur.

Le nom de Jean (-Baptiste) a été une révélation du Seigneur. Le nom de Jésus également a été une révélation du Seigneur.

Alors tout nom donné devrait être une inspiration du Seigneur. Cela ne devrait en aucun cas être l’œuvre de la chair. Tout ce qui est fait selon la chair ne produira aucun impact. Il faut s’assurer qu’en donnant le nom à l’enfant, que ce nom là soit entièrement et profondément spirituel c’est-à-dire émanant du Saint-Esprit, pour également bénir l’enfant de bout en bout, à la seule gloire de Dieu.

En définitive, tout nom qu’on donne à l’enfant doit avoir été reçu clairement de Dieu et pour Lui. Le nom doit être donné pour faire entièrement plaisir à Dieu, dans les motifs et les mobiles les plus profonds du cœur. Ainsi alors a-t-on à jamais béni l’enfant.

Que la gloire soit à Dieu pour son excellence. Il est excellent ! Il est excellent ! Il est excellent ! Alléluia !

 

Joseph Jacka

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